Le 18 juin 1815, Napoléon livre sa dernière grande bataille ; sur un terrain boueux d’à peine quatre kilomètres sur quatre, il affronte le duc de Wellington, commandant en chef des troupes coalisées. Le « duc de fer », un autocrate méticuleux, aligne 68 000 hommes (certaines sources les estiment à 78 000), principalement Allemands, Néerlandais et Belges ; seul un soldat sur trois est britannique (dont une majorité d’Irlandais, Ecossais et Gallois).
De leur côté, les Français réunissent entre 72 et 75 000 hommes, soit autant qu’à Austerlitz (1805) ; les forces en présence sont donc sensiblement équivalentes. Les combats, aussi épuisants que stériles, s’avèrent très meurtriers. Qu’on en juge : un combattant sur quatre sera tué ou blessé pendant la bataille. La bataille débute vers 11h30 du matin et se poursuit jusqu’au soir.
Les coalisés, établis à la hâte à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, adoptent une posture défensive ; bien que solidement retranchés derrière une ligne de crête, ils ont grand-peine à contenir les assauts répétés de leurs adversaires. La charge massive de 10 000 cavaliers engagée par le maréchal Ney illustre l’état d’esprit offensif des Français ; si c’est un échec sur le plan tactique, cette action a un impact psychologique majeur sur les défenseurs. La peur s’installe.
En fin de journée, l’opiniâtreté française finit par porter ses fruits ; la coalition cède la ferme de La Haie-Sainte, verrou défensif central du dispositif allié. Celle de la Papelotte, position fortifiée moins stratégique – quoiqu’importante -, est encerclée ; seul le château-ferme d’Hougoumont, véritable place forte, résiste solidement. Wellington, impuissant, constate l’avancée furieuse des Français ; le salut allié réside dans l’espoir d’une arrivée de renforts prussiens envoyés par le maréchal Blücher :
« Les deux commandants savaient que leur armée respective ne pouvait battre seule les combattants chevronnés de Napoléon. La victoire passait par l’union de leurs forces et, s’ils n’y parvenaient pas, il n’y aurait point de combat » (Bernard Corwell, Waterloo : the History of Four Days, Three Armies and Three Battles, 2014).
Pour tenter d’emporter la décision, Napoléon lance toutes ses forces dans la bataille, y compris la Garde impériale (réserve ultime) ; parallèlement, il espère que Grouchy, envoyé l’avant-veille à la poursuite des Prussiens (battus à Ligny, le 16 juin), parviendra à leur barrer la route. En effet, la jonction des deux armées coalisées doit être empêchée à tout prix ; considérons bien que Napoléon joue son maintien sur le trône. L’Europe retient son souffle.
Revenons à présent sur les évènements immédiatement antérieurs, qui précipitèrent l’affrontement.
Les Cent-Jours
Le 20 mars 1815, Bonaparte se réempare du pouvoir à Paris ; il entre aux Tuileries sans effusion de sang - Louis XVIII ayant déjà fui la capitale. Le Corse écumant s’est échappé de l’Ile d’Elbe où la sicième coalition (1813-1814) l’avait contraint de s’exiler ; il n’y resta que dix mois.
Les monarchies européennes avaient décidé de le renverser pour de bon (Napoléon régna sans partage sur la majeure partie de l’Europe continentale) ; le 25 mars, l’Angleterre, l’Autriche, la Prusse et la Russie signent donc le traité de Vienne. 450 000 hommes partent à l’assaut de la France, sorte de forteresse assiégée (la coalition est en mesure de mobiliser jusqu’à près d’1 million de soldats). Pour contrer cette ligue, l’« Aigle » entend appliquer une vieille recette: prendre de vitesse ses adversaires, les diviser, puis les combattre successivement ; cette stratégie fonctionna incontestablement puisqu’entre 1792 et 1809, il triompha de cinq coalitions.
Selon Thierry Lentz, spécialiste du Consulat et du Premier Empire, l’Empereur compte « vaincre les deux armées à sa portée, celles de Wellington et de Blücher. Non pour remporter toutes les batailles, mais en gagner une seule, entrer à Bruxelles et obliger les coalisés à négocier » (L’Histoire, Juillet-Août 2014).
Attaque surprise en Belgique
Le 15 juin 1815, Napoléon fait irruption en territoire belge. L’Armée du Nord, après une série d’escarmouches, parvient à franchir la Sambre et bat les Prussiens à Gilly (près de Charleroi). Curieusement, Wellington n’intervient pas ; il pense que cette manœuvre est une diversion et redoute une attaque massive des Français vers Mons, la route menant à Ostende. Là où ses canons et ses ravitaillements arrivent en provenance de Grande-Bretagne.
Ligny, une victoire mal exploitée
Le lendemain, les Prussiens sont de nouveau défaits à Ligny ; l’Empereur ordonne à Grouchy de les pourchasser. L’historien belge Jacques Logie estime que cet ordre fut transmis trop tardivement, ce qui eut de lourdes conséquences :
« Les Prussiens prirent l’avance d’une journée de marche sur Grouchy, retard que celui-ci ne pourra jamais combler » (Waterloo, la campagne de 1815, 2003).
Habile, Napoléon utilise tous les stratagèmes pour tenter de séparer les alliés, y compris la négociation ; le baron von Lutzow, prisonnier des Français après la bataille, est choisi pour accompagner un émissaire auprès de Blücher. Cependant, il refuse ; le roi Fréderic Guillaume III aurait interdit à ses troupes tout contact avec l’ennemi.
Dans le même temps, Ney est envoyé aux Quatre-Bras pour isoler l’armée anglaise et ouvrir la voie de Bruxelles (il échoue) ; au moulin de Bussy (à Brye), Blücher et Wellington se rencontrent. Le 17, les deux commandants s’installent respectivement à Wavre et Waterloo, deux localités distantes d’une dizaine de kilomètres ; Napoléon vit dès lors sous la menace d’être pris en étau.
Un réveil difficile
Le matin du 18 juin, l’Empereur prend de cours ses ennemis et attaque l’armée anglo-néerlandaise à Hougoumont (de son vrai nom « Goumont », déformé par Wellington) : c’est le début de la bataille de Waterloo ; ce matin-là, dans les deux camps, les hommes se réveillent trempés, fatigués, diminués. Le lieutenant Martin, du 1er corps de Drouet d’Erlon, revient sur cette nuit épouvantable :
« Il faisait noir comme dans un four, l’eau tombait par torrents et sans discontinuer (…) Pas de bois, pas de paille, pas de vivres et aucun moyen de s’en procurer » (Jacques Garnier, Les secrets de Waterloo, 2015)
Le 2e corps du général Reille ouvre en premier les hostilités. La division du prince Jérôme (frère de Bonaparte) est chargée de mener l’assaut ; elle forme l’extrême gauche de l’armée française, et est ensuite renforcée par celle de Foy. Dans les faits, le général Guilleminot (son chef d’état-major), en assume réellement le commandement, et pour cause : Jérôme Bonaparte s’était montré peu compétent à la tête de l’armée de Westphalie pendant la campagne de Russie (1812).
Hougoumont, le brise-lames
Tandis que la brigade Bauduin fait mouvement vers la ferme d’Hougoumont, elle tombe nez à nez avec des tirailleurs ennemis dans les bois ; en dépit de la surprise, elle les refoule sans difficulté vers les bâtiments de la ferme. Le bataillon nassauvien de BÜgsen et le contingent de Hanovriens, rapidement submergés, se barricadent dans les édifices ; Wellington envoie des renforts et déclenche une violente contre-attaque : quatre compagnies de la brigade Byng, de concert avec l’artillerie anglaise, clouent net les Français dans le bois.
En réponse, l’artillerie française pilonne les canons ennemis (technique de la contre-batterie), et foudroie l’infanterie coalisée ; le sergent Wheeler en fait un récit terrible :
« Obus et mitraille pleuvaient comme de la grêle, c’était sacrement embêtant. Comme on ne voyait pas l’ennemi, même s’il nous tirait allègrement dessus, les trompettes sonnèrent l’ordre de se coucher à terre » (Cité dans : Alessandro Barbero, Waterloo, 2005).
Toutefois, constamment renforcée et solidement retranchée, la garnison du château-ferme tiendra le choc ; les défenseurs compteront jusqu’à 2 600 hommes (sans compter la King’s German Legion et les Brunswickois qui s’ajouteront dans la dernière partie des combats). L’acharnement français fut infructueux ; en fin d’après-midi, cette partie du front se fige. Fait macabre, des tirs d’obus incendiaires mirent le feu aux granges et aux étables, et les blessés, intransportables, périrent brûlés vifs.
La Haie-Sainte et Papelotte, l’incertitude raffine
Situées au centre et à l’est du front allié, les deux fermes sont le théâtre d’affrontements acharnés, mais surtout l’objet de rebondissements spectaculaires ; Drouet d’Erlon, commandant le 1er corps, lance une offensive majeure contre la Haie-Sainte. L’une de ses divisions, conduite par Donzelot, attaque astucieusement par les flancs ; la position encaissée du lieu se révèle dangereuse pour les défenseurs. La situation se dégrade subitement quand la cavalerie de Ney (aux ordres du colonel Crabbé) déboule et charge furieusement ; des bataillons entiers d’Allemands fuient en désordre et sont massacrés.
Seule l’intervention inespérée de la cavalerie lourde anglaise (dirigée par lord Uxbridge), sauve in extrémis les assiégés ; la charge de la Household Brigade repousse non seulement les cuirassiers français, mais écrase l’infanterie napoléonienne. Le retournement de situation est total ; la puissance de choc des dragons anglais semble irrésistible. « Une fois les cuirassiers renversés, déclare lord Uxbridge, j’avais vainement cherché à arrêter mes troupes en faisant sonner le signal du rassemblement aux trompettes » ; pourtant, emportés par leur élan, certains escadrons prolongent leur charge folle parfois jusque très loin dans le dispositif ennemi. Tels les Scot Greys, ces dragons écossais coiffés d’imposants colbacks en peau d’ours, qui sabrent les fuyards jusqu’aux enfants servant de tambours.
Nouveau coup de théâtre ; les lanciers du général Jacquinot, équipés de grandes lances (à l’exemple des cosaques russes), font une entrée remarquée sur le champ de bataille. Chargeant avec vigueur leurs adversaires, ils les balayent systématiquement ; les Scot Greys sont anéantis. A la suite de cette action, d’autres combats seront nécessaires pour emporter les dernières défenses de la Haie-Sainte ; à court de munitions, les défenseurs se battront à l’arme blanche. Quant à la ferme de la Papelotte, reléguée au statut de front secondaire, elle sera prise et reperdue plusieurs fois.
L’arrivée de Blücher, tournant de la bataille
L’état-major anglais s’inquiète de la lenteur des Prussiens ; l’offensive déclenchée par Ney, même si elle est freinée par la lourdeur du terrain, leur inflige de lourds dégâts. L’arrivée de leur allié serait opportune ; de fait, la formation en carrés qu’oppose Wellington, bien qu’efficace, peine à contenir les assauts répétés de la cavalerie française qui charge frénétiquement au cri de « Vive l’Empereur ! » ; l’enseigne Gronow, du 1er Foot Guards, en témoignera :
« A quatre heure, notre carré était un pur et simple hôpital, rempli de morts, de mourants ou de mutilés » (Cité dans : Alessandro Barbero, Waterloo, 2005).
Cependant les assaillants, eux aussi, déplorent des pertes inouïes :
« Les charges se succèdent, un tiers des 10 000 cavaliers est mis hors de combat. Des points sont enlevés, mais l’essentiel résiste. Depuis Mont-Saint-Jean, Wellington sait qu’il va pouvoir compter sur le renfort prussien de Bülow et Zieten. De son côté, Napoléon ne voit pas venir le corps de Grouchy « dupé par les Prussiens » qui l’ont retardé dans un engagement secondaire alors que leur armée « pivotait » sur Waterloo » (Jean-Joël Brégeon, Revue Histoire et Civilisations, juin 2015).
Ainsi, Napoléon se battra sur deux fronts (sans l’aide de Grouchy) : contre Wellington d’une part, puis contre Bülow sur son flanc droit (à Plancenoit) d’autre part, rejoint ultérieurement par le corps de Zieten (à Ohain) ; la supériorité numérique écrasante des coalisés - plus de 30 000 prussiens sont entrés dans la bataille - annonce la défaite de l’Empereur. L’offensive héroïque de la Garde impériale n’y changera rien ; Bonaparte ordonne la retraite. A 73 ans, Blücher tient enfin sa revanche ; lui qui fut humilié à Lübeck (1806), et fait prisonnier à Hambourg. Quant à Wellington, il exulte. A 22h, les deux hommes se retrouvent à La Belle Alliance et célèbrent leur victoire.
De l’exil aux causes de la défaite
Le 28 juin 1815, Napoléon abdique ; le mois suivant, il tente de s’enfuir vers les Etats-Unis, mais la marine britannique l’intercepte. Il est ensuite déporté sur l’île de Sainte-Hélène, un rocher lugubre situé au beau milieu de l’Océan Atlantique Sud ; il y mourra en 1821, sans avoir revu la France. Ironie du destin, c’est là que, moins d’un siècle plus tard (en 1900-1902), les Anglais établiront le premier camp de concentration du XXe siècle ; 6 000 prisonniers Boers y seront internés, et plusieurs centaines d’entre eux périront en détention.
Si Bonaparte répandit l’œuvre de la Révolution française à travers l’Europe, il fut également l’homme qui rétablit l’esclavage aboli par la Convention en 1794. Tyran pour les uns, libérateur et réformateur pour les autres, Napoléon divise. Néanmoins, tous s’accordent sur son génie militaire, en premier lieu ses ennemis ; entre autres exemples, citons le grand théoricien militaire prussien du XIXe siècle, Carl von Clausewitz – présent à Waterloo -, qui le surnommait sobrement le « dieu de la guerre ». Comment ce stratège hors-pair a-t-il pu faillir ?
Toute une tradition historiographique française tend à réhabiliter Bonaparte ; l’écrivain et journaliste britannique Stephen Clarke s’en amuse grassement dans son livre : (How the French Won Waterloo - or Think They Did, Century, 2015). Avec humour, il liste toutes les explications (comprendre « excuses ») avancées par les défenseurs de l’Empereur :
« Dieu, le temps, le destin, l’histoire, les traitres, les déserteurs, etc». Il faut reconnaître que les "Napoléophiles" n’ont eu de cesse de trouver des responsables à cet échec. Napoléon en personne ne se défaussa-t-il pas sur ses maréchaux Grouchy et Ney ? Certains ont même nié la défaite, comme Chateaubriand : « Bataille terrible où la victoire, au milieu des armées confondues, se trompa d’étendard ».
D’autres enfin ont magnifié cet échec, tel Dominique de Villepin évoquant une défaite qui "brille d'une aura victorieuse".
Un héritage qui divise
Rappelons que le 18 juin, le sol détrempé empêcha réellement l’Empereur de déployer librement son artillerie, son arme stratégique ; Wellington, en position défensive, en fut largement moins affecté. Ce paramètre explique donc en partie le revers napoléonien. Le baron Antoine de Jomini, auteur de nombreux traités militaires, explique la défaite par l’arrivée de Blücher. Les historiens ne sont pas unanimes sur la question. Ce qui est certain, par contre, c’est que certains littérateurs ont compliqué la tâche en colportant des légendes ou en cédant au lyrisme (on pense à Victor Hugo dans les Misérables, ainsi qu’à Stendhal).
La critique contre cet amas de grandioseries gémissantes fut formulée par bien des consciences, jusqu’au plus haut sommet de l’Etat français. Ainsi le général de Gaulle, pourtant peu suspect de tiédeur envers l’histoire nationale :
« Napoléon a laissé la France écrasée, envahie, vidée de sang et de courage, plus petite qu’il ne l’avait prise » (Cité dans : La France et son armée, 2011)
La figure de l’Empereur a profondément marqué l'inconscient français, mais aussi européen. L’intrication de son œuvre sanglante avec l’héritage humaniste de la Révolution Française empêche de classifier l’homme avec aisance, du moins sur un plan moral. S’il est indéniable qu’il ravagea une partie de l’Europe, il y installa aussi les acquis du Droit issu des réflexions des philosophes des Lumières (malgré la question de l’esclavage notamment) ; dès lors, la comparaison facile de sa figure à celle d’Hitler est infondée.
Un « parc Napoléon » ?
Dernier projet grandiose en date : un parc de loisirs dédié à Napoléon ; d’ici 2021, sous réserve d’investisseurs, un parc à thème consacré à l’épopée napoléonienne devrait ouvrir ses portes à 90 km de Paris, en Seine-et-Marne. Le député Yves Jégo, à l’initiative du projet, a même déclaré qu’il y aurait « des attractions géantes à sensations, comme à Disneyland, sur le thème des grandes conquêtes de Napoléon ou des pays qu'il a traversés, en alliant jeux et connaissances » (Le Figaro, 19/06/2015).
Une question se pose : Mickey et Astérix se coaliseront-ils ?
Jérémie Dardy
Pour aller plus loin
Alessandro Barbero, Waterloo, Flammarion, 2005
Jean-Joël Brégeon, magazine « Histoire et Civilisations », Juin 2015
Stephen Clarke, How the French Won Waterloo - or Think They Did, Century, 2015
Bernard Corwell, Waterloo : the History of Four Days, Three Armies and Three Battles, 2014
Jean-Claude Damamme, La Bataille de Waterloo, Perrin, 1999
Jacques Garnier, Les secrets de Waterloo, Vuibert, 2015
Emmanuel de Las Cases, Mémorial de Sainte-Hélène, Histoire, 2016
Magazine « L’Histoire », Juillet-Août 2014
Jacques Logie, Waterloo, la campagne de 1815, Racine, 2003
Kees Schulten, Waterloo – La double incertitude, Economica, 2009
William Siborne, History of the Waterloo Campaign, Napoleonic Library, 1995
Jean Tulard, Le Monde selon Napoléon, Tallandier, 2015
Dominique de Villepin, Les Cent-Jours ou l'esprit de sacrifice, Perrin, 2001
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